Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Alexandre Portier
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Vincent Seitlinger
Photo de monsieur le député Antoine Vermorel-Marques
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de monsieur le député Victor Habert-Dassault
Photo de monsieur le député Ian Boucard

À la fin de l’alinéa 2, substituer aux mots :

« à la réalisation de réacteurs électronucléaires dont l’implantation est envisagée à proximité immédiate ou à l’intérieur du périmètre d’une installation nucléaire de base existante mentionnée aux 1° à 3° de l’article L. 593‑2 du code de l’environnement et pour lesquels la demande d’autorisation de création mentionnée à l’article L. 593‑7 du même code est déposée au cours des vingt ans qui suivent la promulgation de la présente loi »,

les mots :

« aux nouvelles installations nucléaires dont la demande d’autorisation en application de l’article L. 593-7 du code de l’environnement est déposée avant 2050, en cohérence avec la future loi de programmation sur l’énergie et le climat ».

 

Exposé sommaire

Amendement de repli. 

En tout état de cause la future LPEC (loi de programmation sur l'énergie et le climat) va couvrir une période plus longue, s’étendant jusqu’à 2050. De même la politique européenne se décline jusqu’à 2050 et la taxonomie européenne fixe une limite à 2045.


Si une durée d’application de la loi était indispensable, la date de 2050 serait plus pertinente.