Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Stéphane Lenormand
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député David Taupiac
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Max Mathiasin
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Benjamin Saint-Huile
Photo de monsieur le député Jean-Luc Warsmann

À l’alinéa 3, après le mot :

« procéder » 

insérer les mots :

« , à titre subsidiaire ».

Exposé sommaire

Face à la gravité que constitue l’acte de mener des examens de caractéristiques génétiques, il est nécessaire de préciser qu’un tel examen ne peut en tout état de cause avoir lieu qu’à titre subsidiaire après épuisement de tous les autres tests disponibles.

Cet article 4 prévoit, en dépit des fortes réserves du Conseil d’État, d’inscrire le principe de contrôles génétiques des sportifs de manière pérenne dans notre code civil. Ces dispositions comportent un risque pour le principe du respect du corps humain. 

Les auteurs de cet amendement prennent acte des impératifs liés à la lutte contre le dopage, cependant, l’organisation d’événements sportifs ne peut primer sur le respect du corps humain. De tels tests génétiques ne devraient donc être envisagés qu’en tout dernier recours en raison de l’inefficacité des autres examens.