Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de madame la députée Christine Arrighi
Photo de monsieur le député Julien Bayou
Photo de madame la députée Lisa Belluco
Photo de monsieur le député Karim Ben Cheikh
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de monsieur le député Jérémie Iordanoff
Photo de monsieur le député Hubert Julien-Laferrière
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Benjamin Lucas-Lundy
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Marie Pochon
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Eva Sas
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian
Photo de monsieur le député Nicolas Thierry

Le titre II du code du service national est complété d’un chapitre IV ainsi rédigé :

« Chapitre IV

« Art. 122‑20‑1. – La réserve environnementale a pour but de coopérer avec les forces armées françaises en action sur le territoire national pour les appuyer sur des tâches de soutien ne nécessitant pas l’emploi d’un militaire. Elle est constituée de civils encadrés par des militaires dans des modalités définies par décret du Conseil d’État.

« La réserve environnementale est constituée de volontaires de plus de 18 ans recevant une formation initiale puis un entraînement d’actualisation des savoirs et pratiques chaque année. La durée minimale de la formation initiale et des entraînements annuels est définie par décret du Conseil d’État, ainsi que les périodes de mobilisation. »

Exposé sommaire

Face au péril environnemental et au dérèglement climatique, les forces armées françaises sont de plus en plus souvent utilisées pour effectuer des tâches de nature civile. 

Cet amendement propose la création d’une réserve environnementale composée de volontaires civils dont l’emploi serait d’appuyer les forces armées françaises en prenant en charge des tâches ne nécessitant pas l’emploi d’un militaire français (approvisionnement, prise en charge de populations déplacées…). 

Tout en étant un outil de résilience face aux phénomènes aggravés ou déclenchés par la crise environnementale, ce dispositif serait un outil citoyen utile pour favoriser le lien armée-nation.