Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Aurélien Saintoul
Photo de monsieur le député Maxime Laisney
Photo de monsieur le député Arnaud Le Gall
Photo de madame la députée Élise Leboucher
Photo de madame la députée Charlotte Leduc
Photo de madame la députée Sarah Legrain
Photo de madame la députée Murielle Lepvraud
Photo de monsieur le député Antoine Léaument
Photo de madame la députée Pascale Martin
Photo de madame la députée Élisa Martin
Photo de monsieur le député William Martinet
Photo de monsieur le député Frédéric Mathieu
Photo de monsieur le député Damien Maudet
Photo de madame la députée Marianne Maximi
Photo de madame la députée Manon Meunier
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Nilor
Photo de madame la députée Danièle Obono
Photo de madame la députée Nathalie Oziol
Photo de madame la députée Mathilde Panot
Photo de monsieur le député René Pilato
Photo de monsieur le député François Piquemal
Photo de monsieur le député Thomas Portes
Photo de monsieur le député Loïc Prud'homme
Photo de monsieur le député Adrien Quatennens
Photo de monsieur le député Jean-Hugues Ratenon
Photo de monsieur le député Sébastien Rome
Photo de monsieur le député François Ruffin
Photo de monsieur le député Michel Sala
Photo de madame la députée Danielle Simonnet
Photo de madame la députée Ersilia Soudais
Photo de madame la députée Anne Stambach-Terrenoir
Photo de madame la députée Andrée Taurinya
Photo de monsieur le député Matthias Tavel
Photo de madame la députée Aurélie Trouvé
Photo de monsieur le député Paul Vannier
Photo de monsieur le député Léo Walter

Substituer à l’alinéa 77 les quatre alinéas suivants :

« L’austérité appliquée au service de santé des armées durant une décennie a sévèrement affecté ses capacités humaines et sa présence sur l’ensemble du territoire. Il représente aujourd’hui 1 % de l’offre de soins en France, couvrant à la fois les besoins des opérations extérieures et ceux du territoire national, notamment en outre-mer.

« Avec moins de 10 000 personnels en 2022, le SSA continue de souffrir des suppressions d’effectifs annuels réalisées par les réformes de la révision générale des politiques publiques. Le SSA est pourtant une ressource extraordinairement précieuse, pour les soldats et pour les citoyens. L’épidémie de Covid-19 avait déjà démontré à la fois sa grande maîtrise et son incroyable sous-dotation. Ses moyens lui seront rendus : l’activité des hôpitaux d’instruction des armées en cours de restructuration sera relancée, les fermetures de site seront arrêtées, de nouveaux sites seront ouverts et un effort d’investissement dans la recherche pour traiter les blessures les plus graves et les plus complexe, sera mené.

« L’offre de santé dans certaines zones d’affectation connaissant des déserts médicaux de plusieurs spécialités, sera renforcée, en accélérant les recrutements, et la formation des personnels de soin du SSA.

« Nos armées pourront s’appuyer sur un service de santé complet, efficace, et solide, qui investit dans la recherche et le recrutement, et qui fidélise ses personnels en augmentant la partie indiciaire de leur rémunération. »

Exposé sommaire

Par cet amendement, le groupe LFI-NUPES propose de réinvestir dans le Service de santé des armées et cesser sa déflation de personnels.