Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Stéphane Delautrette

Stéphane Delautrette

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de monsieur le député Dominique Potier

Dominique Potier

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel

Marie-Noëlle Battistel

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de monsieur le député Johnny Hajjar

Johnny Hajjar

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de madame la députée Chantal Jourdan

Chantal Jourdan

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de monsieur le député Gérard Leseul

Gérard Leseul

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Photo de monsieur le député Philippe Naillet

Philippe Naillet

Membre du groupe Socialistes et apparentés (membre de l’intergroupe NUPES)

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Au plus tard un an après la promulgation de la présente loi, une loi de programmation pour le foncier fixe les objectifs et priorités d’action de l’État en matière d’utilisation, de consommation et de réutilisation des sols, notamment dans les domaines agricoles, de l’habitat et du logement, des mobilités et de la production énergétique, au regard du cadre posé par l’objectif national de réduction de l’artificialisation des sols et l’atteinte d’un niveau d’artificialisation net nul en 2050 tel qu’il résulte des dispositions de la présente loi.

Exposé sommaire

Le présent amendement des députés Socialistes et apparentés vise à prévoir la présentation d’une grande loi de programmation pour le foncier au plus tard un an après la promulgation de la présente loi.

Cette loi foncière viserait à mettre en cohérence les objectifs de politiques publiques de l’État en matière de production de logements, de développement des mobilités et de l’agriculture, de transition énergétique ou encore de préservation de la biodiversité avec les nouvelles contraintes posées par le ZAN et la nécessité d’avoir un pilotage stratégique et planifié d’un foncier qui va être de plus en plus rare et, sans régulation, cher.