Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de madame la députée Estelle Youssouffa
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de madame la députée Martine Froger
Photo de monsieur le député Max Mathiasin
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Benjamin Saint-Huile
Photo de monsieur le député Olivier Serva
Photo de monsieur le député David Taupiac

À la seconde phrase de l’alinéa 8, substituer aux mots : 

« un an »

les mots :

« dix-huit mois ».

Exposé sommaire

Cet amendement vise à porter à dix-huit mois la durée maximale d'un avoir d'informatique en nuage. 

Le principe d'une limitation dans le temps des avoirs d'informatique en nuage est nécessaire pour favoriser la concurrence entre les différents acteurs et permettre l'émergence de champions européens. 

Toutefois, les avoirs informatiques peuvent avoir un intérêt économique : ils permettent aux acteurs du cloud d'accompagner les start-up, sans que celles-ci ne fassent face à des frais qui limiteraient leur capacité de croissance. 

En fixant une durée trop restrictive de ces avoirs, le risque est de ne pas laisser le temps aux PME de se développer, et de leur imposer de nouveaux frais alors même qu'elles ne sont pas encore rentables. Autre danger: les start-up pourraient être tentées de s'expatrier pour bénéficier de crédits clouds à l'étranger.