Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Sébastien Peytavie
Photo de madame la députée Sandrine Rousseau
Photo de madame la députée Julie Laernoes
Photo de monsieur le député Aurélien Taché
Photo de madame la députée Delphine Batho
Photo de madame la députée Cyrielle Chatelain
Photo de monsieur le député Charles Fournier
Photo de madame la députée Marie-Charlotte Garin
Photo de madame la députée Francesca Pasquini
Photo de monsieur le député Jean-Claude Raux
Photo de madame la députée Sandra Regol
Photo de madame la députée Sabrina Sebaihi
Photo de madame la députée Sophie Taillé-Polian

Après l’alinéa 13, insérer l’alinéa suivant : 

« Dans le cas mentionné au deuxième alinéa du III de l’article 11, il informe également la personne choisie pour administrer la substance létale des enjeux et de l’impact, notamment psychologique, de cette procédure puis s’assure qu’elle consente de façon libre et éclairée à la réaliser. »

Exposé sommaire

Le présent amendement des député·e·s écologistes vise à s’assurer que, dans le cas où le/la patient·e choisi·e une personne proche pour administrer la substance létale, cette dernière soit pleinement informée au préalable des enjeux derrière l’administration d’une substance létal et que son consentement soit recueilli par le/la professionnel·le de santé.


Administrer une substance létale menant à la mort de l’un·e de ses proches est un acte inexorablement marquant, douloureux voire traumatisant. Il convient donc à cet effet que cette personne soit pleinement consciente de l’impact psychologique d’un tel acte et qu’elle donne son consentement libre et éclairé.


Tel est l’objet du présent amendement.