Fabrication de la liasse
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Brigitte Liso

Membre du groupe Renaissance

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Photo de madame la députée Annie Vidal

Annie Vidal

Membre du groupe Renaissance

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Photo de monsieur le député Damien Abad

Damien Abad

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Photo de monsieur le député Bertrand Sorre

Bertrand Sorre

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Photo de monsieur le député Jean-Luc Fugit

Jean-Luc Fugit

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Photo de monsieur le député Jean-Pierre Pont

Jean-Pierre Pont

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Photo de madame la députée Lysiane Métayer

Lysiane Métayer

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Photo de monsieur le député Antoine Armand

Antoine Armand

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Photo de monsieur le député Raphaël Gérard

Raphaël Gérard

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Photo de madame la députée Graziella Melchior

Graziella Melchior

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Photo de madame la députée Patricia Lemoine

Patricia Lemoine

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Photo de madame la députée Mireille Clapot

Mireille Clapot

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Photo de madame la députée Mathilde Desjonquères

Mathilde Desjonquères

Membre du groupe Démocrate (MoDem et Indépendants)

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À l’alinéa 2, après le mot : 

« personnes », 

insérer les mots : 

« placées en état de sujétion psychologique ou physique ou ».

Exposé sommaire

Le présent amendement vise à exclure les personnes en état de sujétion physique ou psychologique du processus d'aide active à mourir, en complément de celles atteintes d'une maladie psychiatrique. 

En effet, la mise sous emprise entraîne une altération du jugement et des facultés de discernement. Cet état de fait ne permet pas à la personne de manifester sa volonté libre et éclairée, et donc de pouvoir prendre une décision pleinement réfléchie et consentie.

Cette notion fait suite à l'adoption du projet de loi visant à lutter contre les dérives sectaires, créant un délit de sujétion permettant de renforcer notre arsenal juridique face aux techniques d'emprise devenues protéiformes et en augmentation croissante.