Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Aurélien Pradié
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Yannick Neuder
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de madame la députée Sylvie Bonnet
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Raphaël Schellenberger
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Taite
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de madame la députée Christelle Petex
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de monsieur le député Victor Habert-Dassault
Photo de monsieur le député Antoine Vermorel-Marques

Après le II bis de l’article L. 214‑3 du code de l’environnement, il est inséré un II ter ainsi rédigé : 

« II ter. – Les travaux de consolidation et de protection des berges peuvent être entrepris sans que soient présentées les demandes d’autorisation en-deçà de 500 mètres ou les déclarations en-deçà de 200 mètres. » 

Exposé sommaire

Cet article a pour but de réhausser les seuils de la nomenclature IOTA pour la protection et la consolidation des berges par des techniques autres que végétales vivantes. Un des objectifs du gouvernement, retranscrit dans le pacte en faveur de la haie, est la simplification des règlementations autour des haies. 
De plus, le gouvernement, dans ce même document, énonce qu’”une vision dynamique de l’évolution du linéaire de haie est nécessaire”. Ainsi, le rehaussement des seuils vise à répondre aux exigences du Pacte en faveur de la haie.