Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Aurélien Pradié
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de monsieur le député Fabien Di Filippo
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de monsieur le député Nicolas Forissier
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Jean-Luc Bourgeaux
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Francis Dubois
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de madame la députée Nathalie Serre
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Mansour Kamardine
Photo de monsieur le député Vincent Rolland
Photo de monsieur le député Antoine Vermorel-Marques
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de madame la députée Émilie Bonnivard
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Sylvie Bonnet
Photo de madame la députée Justine Gruet
Photo de monsieur le député Éric Ciotti
Photo de monsieur le député Éric Pauget
Photo de monsieur le député Ian Boucard
Photo de madame la députée Christelle Petex
Photo de madame la députée Isabelle Périgault
Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet
Photo de monsieur le député Victor Habert-Dassault

Au plus tard le 1er janvier 2026, le Gouvernement remet au Parlement un rapport chargé de réaliser un inventaire exhaustif des écarts normatifs entre la législation européenne et la législation française en matière d’agriculture.

 

Exposé sommaire

Cette demande de rapport au Gouvernement vise à procéder à un examen approfondi des écarts entre la législation nationale et les normes édictées au niveau européen afin d’identifier les dispositions excessivement contraignantes ou inutilement restrictives pour le secteur agricole français. La surtransposition, en imposant des normes nationales plus strictes que celles requises par l’Union européenne, engendre une complexification administrative et réglementaire préjudiciable aux acteurs du monde agricole. Elle peut entraver l’efficacité des exploitations, alourdir les procédures administratives et accroître les coûts de conformité, fragilisant ainsi la compétitivité des agriculteurs français sur les marchés européens et internationaux. Ce rapport permettra d’identifier les surtranspositions injustifiées et de proposer des ajustements visant à aligner la législation nationale sur les normes européennes, tout en préservant les spécificités et les intérêts de l’agriculture française.