Fabrication de la liasse

Amendement n°I-CF1581

Déposé le dimanche 13 octobre 2024
Discuté
Rejeté
(samedi 19 octobre 2024)
Photo de monsieur le député Jean-Philippe Tanguy
Photo de monsieur le député Frédéric Weber
Photo de monsieur le député Frédéric-Pierre Vos
Photo de monsieur le député Antoine Villedieu
Photo de monsieur le député Romain Tonussi
Photo de monsieur le député Lionel Tivoli
Photo de monsieur le député Thierry Tesson
Photo de monsieur le député Michaël Taverne
Photo de monsieur le député Emmanuel Taché de la Pagerie
Photo de madame la députée Anne Sicard
Photo de monsieur le député Philippe Schreck
Photo de monsieur le député Arnaud Sanvert
Photo de monsieur le député Emeric Salmon
Photo de monsieur le député Alexandre Sabatou
Photo de madame la députée Anaïs Sabatini
Photo de madame la députée Sophie-Laurence Roy
Photo de madame la députée Béatrice Roullaud
Photo de madame la députée Laurence Robert-Dehault
Photo de monsieur le député Joseph Rivière
Photo de madame la députée Catherine Rimbert
Photo de monsieur le député Matthias Renault
Photo de monsieur le député Julien Rancoule
Photo de madame la députée Angélique Ranc
Photo de monsieur le député Stéphane Rambaud
Photo de madame la députée Lisette Pollet
Photo de monsieur le député Kévin Pfeffer
Photo de monsieur le député Thierry Perez
Photo de madame la députée Caroline Parmentier
Photo de monsieur le député Julien Odoul
Photo de monsieur le député Thomas Ménagé

Substituer au montant :

« 23 320 855 052 € » 

le montant :

« 18 320 855 052 € ».

Exposé sommaire

La France est le dernier grand pays contributeur à ne pas bénéficier de "correction forfaitaire", autrement dit un "rabais" sur sa contribution financière à l'Union européenne. L'Italie, autre pays contributeur net sans rabais a au moins obtenu des sommes bien plus importantes que la France dans le cadre du plan "Facilité pour la reprise et la résilience (FRR)".

 

Si nous estimons que la France n'aurait jamais du tant contribuer financière à un budget européen dont elle a systématiquement été la grande perdante, il est désormais totalement irresponsable que le gouvernement français continue à jouer au "Bon Samaritain" alors que notre pays traverse la plus grave crise budgétaire depuis la Libération.

 

Par ailleurs, il est parfaitement faux et malhonnête de considérer que la coopération européenne nécessite un budget en constante augmentation et dont les actions dépassent depuis longtemps les mandats que lui donnent les traités. La Commission Européenne doit donc faire les économies qui s'imposent pour faire mieux avec moins d'argent. Ou peut être même, faire moins pour faire mieux.