1ère séance : Questions au Gouvernement; Protection de l'identité (vote solennel); Peine d'interdiction du territoire et délinquants réitérants (vote solennel) ; Majoration des droits à construire
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Gironde (9ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Socialiste, radical, citoyen et divers gauche
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Intervention en séance publique
Mme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les actions engagées par la Fédération nationale des producteurs et élaborateurs de crémant contre la possibilité de revendiquer une indication géographique protégée (IGP) pour des vins mousseux. Les sept syndicats régionaux issus d'Alsace, de Bordeaux, de Bourgogne, de Die, du Jura, de Limoux et de Loire appréhendent les conséquences des 36 arrêtés ministériels pris entre le 26 octobre et le 14 novembre 2011 sur proposition de l'Institut national de l'origine et de la qualité, et homologuant les cahiers des charges présentés par la plupart des régions viticoles. Le développement important des vins effervescents sous IGP risque d'entraîner des déséquilibres importants entre offre et demande. De plus, l'apparition sur le marché de nouveaux produits n'ayant démontré ni qualité, ni réputation, ni caractéristiques particulières attribuables à l'origine géographique va rendre la compréhension de l'offre encore plus difficile et créer la confusion chez le consommateur. Face à ce qu'elle considère comme un « acte de concurrence déloyale » qui menace la survie et l'image des vins mousseux de haute qualité, la Fédération nationale des producteurs et élaborateurs de crémant envisage un recours devant le Conseil d'État. En conséquence, elle lui demande de bien vouloir lui préciser la position du Gouvernement et s'il entend abroger les dispositions figurant dans les arrêtés susmentionnés.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le désarroi des équipes des réseaux de santé aquitains confrontées à une situation financière de plus en plus dégradée et à une absence totale de réaction de la part de l'Agence régionale de santé (ARS), tant au niveau territorial que régional. Ces réseaux, financés par le Fonds d'intervention pour la qualité et la coordination des soins (FIQCS), oeuvrent depuis dix ans pour améliorer les relations entre les patients et les divers acteurs de l'hôpital, du domicile, du secteur médico-social ainsi que des collectivités territoriales. Leur rôle est capital pour l'accès des malades à une prise en charge de qualité et pour le soutien logistique aux praticiens de premiers recours dans leur pratique quotidienne. Or, en l'espace de six mois, la plupart des financements ont été réduits de telle façon que l'existence même de certains réseaux se trouve menacée et l'ARS, quand elle n'est pas aux abonnés absents, se révèle incapable d'apporter des réponses concrètes et adaptées. Lors de sa création, l'Union nationale des réseaux de santé avait mis l'accent sur la nécessité d'une fonction de coordination forte dotée d'un financement pérenne. Elle lui demande donc de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend prendre en urgence pour rassurer les personnels des réseaux de santé et, dans la perspective du projet de loi de finances pour 2012, pour garantir leur financement.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'avenir de la profession d'orthophoniste dans la perspective de la réingénierie des diplômes paramédicaux consécutive aux accords de Bologne. Depuis deux ans, toutes les composantes de la profession (professionnels, étudiants, centres de formation, grandes centrales syndicales,) ont oeuvré à la reconnaissance d'une formation de qualité, au niveau du grade master, préservant une offre de soins identique sur tout le territoire et accessible au plus grand nombre. La solution retenue par les ministères de la santé et de l'enseignement supérieur consiste à scinder la profession en deux catégories : un niveau master 1, pour une formation généraliste aux compétences limitées, et un niveau master 2 pour des praticiens habilités à prendre en charge les patients victimes d'accidents vasculaires cérébraux, atteints de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson, ou souffrant de troubles de déglutition et de phonation. Les professionnels dénoncent la mise en place d'une orthophonie à deux vitesses instituant une hiérarchisation au sein de la filière, avec pour corollaire une diminution du champ de compétences de la majorité des orthophonistes et une réduction de l'offre de soins de qualité à proximité des patients puisque les prises en charges spécifiques seront déterminées en établissements et en centres spécialisés, créant encore plus de disparité dans l'accès aux soins sur tout le territoire, avec le risque de voir se multiplier les sous-métiers de rééducation. Compte tenu de ces éléments, elle lui demande de revenir sur ce projet et d'engager une véritable reconnaissance du rôle et de la mission préventive, diagnostique et thérapeutique des orthophonistes en validant le niveau master 2 comme niveau unique de formation.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur le dispositif de certification des diagnostiqueurs immobiliers. Créée en 2003 pour répondre aux exigences de santé et de sécurité des consommateurs à l'égard de leur logement, cette profession regroupe des experts indépendants censés rendre un avis impartial à l'occasion d'une transaction immobilière ou d'une mise en location. Ils examinent la conformité des lieux en rapport avec les obligations légales et constituent un dossier technique à partir d'éléments de contrôle tels que le risque d'exposition à l'amiante et au plomb, la présence d'insectes xylophages, l'état de l'installation intérieure de gaz et d'électricité, le diagnostic de performance énergétique, etc. Depuis le 1er novembre 2007, la certification des diagnostiqueurs immobiliers par les organismes agréés est devenue obligatoire. Or une nouvelle réglementation menace ces professionnels qui devront acquitter un droit d'entrée de 15 000 euros (formation préalable et examen de certification) et renouveler ensuite tous les cinq ans la certification obtenue. Selon la Fédération du diagnostic du bâti (FNECI), cette mesure entraînera la disparition de la moitié des entreprises - incapables de financer ces formations - et ralentira les transactions, faute d'experts pour réaliser les diagnostics obligatoires. En conséquence, elle lui demande de réexaminer, en concertation avec les organisations professionnelles et dans le respect d'un ordre économique et social juste, les conditions d'exercice d'une profession désormais indispensable.
Voir la questionMme Martine Faure attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur les difficultés rencontrées par les établissements d'information, de conseil conjugal et familial (EICCF) suite à la baisse significative de leurs financements. En effet, il apparaît que 500 000 euros, prévus et votés dans le budget 2012, n'ont toujours pas été versés aux EICCF. La mission d'information et d'éducation à la sexualité dévolue à ces structures souffre déjà d'un important manque de moyens et ne peut, par conséquent, se résigner à perdre 20 % du budget alloué par le Parlement. La loi n° 73-639 du 11 juillet 1973 portant création d'un conseil supérieur de l'information sexuelle, de la régulation des naissances et de l'éducation familiale, stipule dans son article 1er que « l'information de la population sur les problèmes de la vie est une responsabilité nationale ». De plus, le 2 décembre 2011, la circulaire n° 2011-216 de l'éducation nationale a retenu sept domaines prioritaires programmés dans le projet éducatif de chaque établissement, parmi lesquels l'objectif n° 3 vise à « généraliser l'éducation à la sexualité (accès à la contraception et prévention des IST et du sida) ». L'action des EICCF s'inscrit dans des enjeux fondamentaux pour notre société, tels que l'égalité entre les femmes et les hommes, ou le développement affectif et social des personnes. Aussi, elle lui demande, d'une part, de veiller à l'application de la loi de finances et, d'autre part, de lui faire connaître les mesures qu'elle compte mettre en oeuvre pour résoudre enfin les problèmes répétitifs que connaissent les associations chargées, depuis la loi Neuwirth, de mener à bien cette mission.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur la réhabilitation des soldats fusillés pour l'exemple pendant la guerre de 1914-1918. 2 500 hommes pris au hasard ont été condamnés et 680 fusillés, sans compter les exécutions sommaires qui n'ont jamais été recensées. L'écrasante majorité de ces soldats n'a pas été réhabilitée. Le 11 novembre 2011, la ligue des droits de l'Homme, l'association républicaine des anciens combattants (ARAC), la libre pensée et le mouvement de la paix ont dénoncé cette injustice. Le 5 novembre 1998, à l'occasion du 80e anniversaire de l'armistice de 1918, le Premier ministre Lionel Jospin avait souhaité que ces soldats « réintègrent pleinement notre mémoire collective nationale ». Le 11 novembre 2008, le Président de la République a rendu hommage à tous les morts de la Première guerre mondiale, y compris ceux qui, à bout de souffrance, « sont restés paralysés au moment de monter à l'assaut ». Parallèlement, l'idée de la création d'une commission indépendante chargée de faire le point sur cette question avait été évoquée par le secrétaire d'État aux anciens combattants en juin 2010. Aujourd'hui, le Gouvernement annonce qu'une réflexion est engagée sur ce dossier « sensible et complexe ». Estimant, avec les associations susmentionnées, qu'il n'est plus temps de tergiverser, elle lui demande de prendre les mesures nécessaires à la réintégration des fusillés de la Grande Guerre au sein de la communauté des combattants.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur un aménagement du règlement communautaire susceptible d'intervenir à l'occasion du prochain comité de gestion des vins le 24 janvier 2012 et qui concerne une disposition de l'annexe XI ter du règlement (CE) n° 1234-2007 relative au titre alcoométrique volumique total (TAVT) maximum des vins liquoreux. La modification envisagée aurait pour conséquence d'interdire, à compter de la récolte 2012, la production de vins d'appellation d'origine protégée (AOP) ayant un TAVT supérieur à 15° s'ils ont été enrichis, alors que cette possibilité est ouverte par les textes communautaires depuis 40 ans ! La pratique de l'enrichissement est strictement encadrée et participe directement à la définition du produit, notamment au regard de l'équilibre recherché entre la structure du vin et le niveau de sucres résiduels. Pour l'ensemble des vins liquoreux concernés, la fixation d'un TAVT maximal à 15° amènerait une mutation profonde des caractéristiques organoleptiques du produit avec un impact négatif inévitable sur sa commercialisation et un préjudice financier considérable pour les producteurs. À quelques mois de la récolte et compte tenu de l'enjeu économique vital pour une filière déjà fragilisée, elle lui demande d'intervenir auprès de la Commissaire européenne afin de l'inciter à revenir sur cette mesure.
Voir la réponseMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la situation des producteurs de vins AOP dits « liquoreux » en Gironde, notamment les appellations Sauternes, Barsac, Sainte-Croix-du-Mont, Loupiac, Cadillac, Premières Côtes de Bordeaux et Cérons. Le projet de règlement d'exécution de la Commission modifiant l'annexe XI ter du règlement (CE) n° 1234-2007 relative au titre alcoométrique maximum de certains vins, inscrit à l'ordre du jour du comité de gestion de l'organisation commune des marchés agricoles du 24 janvier 2012, a été retiré de l'agenda. La menace semble momentanément écartée mais l'inquiétude persiste chez les viticulteurs soucieux de la pérennité économique de leurs exploitations. Elle souhaiterait donc savoir si la mesure interdisant la production de vins AOP enrichis titrant plus de 15° est définitivement abandonnée ou simplement reportée.
Voir la réponse publiée le 29 février 2012Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
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Mme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conditions de formation des ostéopathes professionnels de santé, dans la perspective d'une prochaine modification de la réglementation. Les professionnels de santé, dont les masseurs-kinésithérapeutes qui sont à l'origine historique de l'implantation de l'ostéopathie en France, exigent le maintien d'une formation spécifique dans le cadre d'une filière de formation continue en alternance. Selon eux, il serait souhaitable qu'une séparation claire soit établie entre les ostéopathes professionnels de santé et non professionnels, et que les conditions d'agrément des instituts de formation en ostéopathie pour les professionnels de santé soient distinguées et précisées en sorte qu'ils bénéficient dans les textes de la qualification « établissements de formation continue » et dépendent à ce titre du seul ministère du travail. Ils demandent également que leur cursus soit spécifique et adapté aux masseurs-kinésithérapeutes, suivant en cela les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui retient une base de 1 000 heures de formation. En conséquence, elle lui demande quelles mesures il entend prendre pour satisfaire ces légitimes revendications.
Voir la questionIntervention en séance publique
Mme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur le fonctionnement de la « base nationale des identifiants élèves » (BNIE), développée parallèlement à la « base élèves 1er degré » (BE1D) et qui permet l'immatriculation nationale de tous les enfants dès l'âge de trois ans. Ces deux bases de données sont interconnectées par l'intermédiaire du numéro national d'identifiant élève (INE), attribué à chaque enfant, qui permet d'amorcer, dès l'école primaire, le fichage informatique centralisé des compétences des enfants. Ce « casier scolaire » pourra les suivre tout au long de leur vie d'adulte car l'INE est une véritable clef de voûte permettant de relier les différents fichiers existants. Ainsi, un certain nombre de données personnelles entrées dans la BE1D restent accessibles par l'intermédiaire de la BNIE, même après avoir été effacées un an après la fin de la scolarité primaire de l'enfant. La centralisation des immatriculations combinée à l'absence de dispositif interdisant les interconnexions entre BE1D et BNIE inquiète parents d'élèves et enseignants qui redoutent une dérive sécuritaire et le projet de transformer la BNIE en un « répertoire national des identifiants élèves » (RNIE) généralisant l'INE à l'ensemble du système éducatif n'est pas fait pour les rassurer. Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui préciser la nature exacte et les conditions d'utilisation du fichier BNIE et quelles dispositions il entend prendre pour en préserver l'anonymat.
Voir la questionMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les revendications de l'association France Parkinson qui s'inquiète de l'absence de financement du plan d'action sur la maladie de Parkinson dans le PLFSS et dans le projet de loi de finances pour 2012. Cette maladie, à la fois mal connue, mal traitée et très invalidante, est pourtant la deuxième maladie neurodégénérative par le nombre de personnes touchées : plus de 150 000 familles en France, près de 14 000 nouveaux diagnostiqués chaque année d'une moyenne d'âge inférieure à 60 ans. Elle est aussi la deuxième cause de handicap chez l'adulte. Dès lors, la structuration du système de soins n'est plus une priorité mais une urgence. Les associations de malades réclament, entre autres, la mise en place d'un dispositif de repérage et de prise en charge, la création de centres de référence, l'organisation de réseaux territoriaux assurant le suivi coordonné des malades et l'instauration d'un interlocuteur public unique. De plus, la recherche doit être renforcée, tant sur le plan fondamental que clinique ou épidémiologique, afin de dépasser l'étape du traitement purement symptomatique pour parvenir à la phase curative. En conséquence, elle lui demande de bien vouloir lui préciser quand et comment sera mis en oeuvre le plan annoncé, et quelles sommes lui seront affectées pour l'année 2012.
Voir la questionMme Martine Faure attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur une anomalie qui apparaît dans le projet de loi de finances pour 2012. Celui-ci prévoit 1 145 postes d'assistants d'éducation (AE) pour une autorisation d'engagement de 26 000 000 d'euros au bénéfice de l'enseignement agricole public (EAP). Or ce financement ne permet de couvrir que 1 056,93 emplois temps plein (ETP) à un coût annuel de 24 694 euros - somme retenue par le ministère de l'éducation nationale. Cette sous-évaluation se traduit par une autorisation de recrutement de 1 118,25 ETP, répartis sur l'ensemble des établissements publics d'enseignement agricole, avec une rémunération limitée à 11 mois et demi. Les établissements devront donc prélever sur leurs fonds propres pour compenser le déficit de dotation et approvisionner les sommes nécessaires à la rémunération complète de leurs AE. En conséquence, elle lui demande de prendre les mesures nécessaires pour remédier à cette situation ubuesque et de veiller à ce que les crédits de paiement englobent la totalité des postes.
Voir la questionMme Martine Faure attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la famille et de la solidarité sur la mise en oeuvre de l'article 79 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2010 qui vient modifier l'article L. 542-9 du code de la sécurité sociale relatif aux prêts à l'amélioration de l'habitat consentis par les régimes de prestations familiales à leurs allocataires. Ce dernier autorise désormais l'ouverture de ces prêts aux assistants maternels visés à l'article L. 421-1 du code de l'action sociale et des familles. Ce prêt, qui serait accordé à taux zéro pour cinq ans, pourrait permettre aux assistants maternels de financer des travaux effectués à leur domicile, dès lors qu'ils sont liés à leur activité professionnelle. Cependant, les conditions d'extension de ce dispositif doivent être précisées par un décret fixant le plafond du prêt, l'échéancier de remboursement et les règles applicables en cas de déménagement du bénéficiaire. L'entrée en vigueur de cette mesure étant très attendue par de nombreux assistants maternels, elle la remercie des indications qu'elle pourra lui fournir quant à la date de parution de ce décret au Journal officiel.
Voir la questionAssemblée nationale
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