Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Stéphane Lenormand
Photo de monsieur le député Max Mathiasin
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Benjamin Saint-Huile
Photo de monsieur le député Olivier Serva
Photo de monsieur le député David Taupiac
Photo de madame la députée Estelle Youssouffa

Compléter l’alinéa 7 par les mots : 

« dans les locaux des services compétents ou au domicile de la victime ».

 

Exposé sommaire

Dans le cas où les forces de l’ordre jugeraient nécessaire une audition après le dépôt de plainte via télécommunication, cet amendement propose de permettre la tenue de cette audition soit dans les locaux des services compétents soit directement au domicile de la victime.

L’objectif de cet amendement est de concilier numérique et proximité. Lorsqu’une victime fait le choix d’utiliser la télécommunication audiovisuelle, si les policiers estiment, notamment eu égard à la gravité des faits ou à leur nature intrinsèque, qu’ils doivent procéder à une audition, il est souhaitable qu’ils puissent proposer à la victime de se déplacer et d’aller vers elle afin d’en permettre la tenue de l'entretien dans son lieu de résidence. Cette option contribue à la logique de « proximité » présentée comme un objectif essentiel du présent projet de loi.