Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Estelle Youssouffa
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Guy Bricout
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Stéphane Lenormand
Photo de monsieur le député Max Mathiasin
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Pierre Morel-À-L'Huissier
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Benjamin Saint-Huile
Photo de monsieur le député Olivier Serva
Photo de monsieur le député David Taupiac

Après l’alinéa 47, insérer l’alinéa suivant :

« En outre-mer, le recrutement des équipes d’accueil et des agents placés au sein des espaces France services et des points d’accueil numérique est assujetti à la maîtrise, outre du français, d’au moins une des langues locales majoritaires. »

Exposé sommaire

Des dizaines de langues sont pratiquées quotidiennement dans les territoires d’outre-mer, à l’image du Shimaore ou du Kibushi à Mayotte, du Tahitien ou du Marquisien en Polynésie française. La diversité culturelle et le multilinguisme constituent ainsi une caractéristique de premier ordre des territoires dits ultramarins. Le 25 octobre 2021, la ministre de la Culture alors en exercice affirmait
à l’occasion de l’ouverture des États Généraux du multilinguisme à La Réunion : «  Promouvoir les langues ultramarines aux côtés de la langue française, c’est œuvrer pour la cohésion sociale ». 

Cet amendement vise ainsi à assurer un accès et un accompagnement adaptés au plurilinguisme qui caractérise les territoires d’outre-mer.