Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Paul-André Colombani
Photo de monsieur le député Olivier Serva
Photo de monsieur le député Jean-Félix Acquaviva
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Jean-Louis Bricout
Photo de monsieur le député Michel Castellani
Photo de monsieur le député Charles de Courson
Photo de madame la députée Béatrice Descamps
Photo de monsieur le député Stéphane Lenormand
Photo de monsieur le député Max Mathiasin
Photo de monsieur le député Paul Molac
Photo de monsieur le député Christophe Naegelen
Photo de monsieur le député Bertrand Pancher
Photo de monsieur le député Laurent Panifous
Photo de monsieur le député Benjamin Saint-Huile
Photo de monsieur le député David Taupiac
Photo de madame la députée Estelle Youssouffa

À la première phrase de l’alinéa 2, supprimer la référence :

« L. 1434‑12, ».

Exposé sommaire

Cet amendement propose d’exclure les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) des structures de soins coordonnés où est ouvert l’accès direct et la primo-prescription aux masseurs-kinésithérapeutes.

Les CPTS ont été créées pour permettre à des professionnels de santé de s’organiser pour répondre à un besoin en santé sur un territoire, et non pas pour organiser des soins autour d’un patient. 

Dans les CPTS comme dans les autres structures, les soins de premier recours sont encore centrés autour du médecin généraliste, dont le rôle est d’orienter le patient dans son parcours de soin. De fait, la gestion du parcours de soins pour le patient est jusqu’à présent la spécialité de la médecine générale, puisque les médecins généralistes sont formés à la pose d’un diagnostic global sur les patients. Or, s’il est vrai que les masseurs-kinésithérapeutes bénéficient également d’une formation approfondie, et d’une expertise clinique les rendant à même de détecter plusieurs points d’alerte, leurs compétences ne sauraient remplacer les compétences et l’expérience diagnostiques du médecin généraliste.