Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Fabienne Colboc

Fabienne Colboc

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Photo de monsieur le député Philippe Fait

Philippe Fait

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Photo de monsieur le député Christophe Marion

Christophe Marion

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Photo de madame la députée Violette Spillebout

Violette Spillebout

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Photo de monsieur le député Jean-Marc Zulesi

Jean-Marc Zulesi

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Photo de madame la députée Sabrina Agresti-Roubache

Sabrina Agresti-Roubache

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Photo de monsieur le député Bertrand Sorre

Bertrand Sorre

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Photo de monsieur le député Stéphane Vojetta

Stéphane Vojetta

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Photo de madame la députée Lysiane Métayer

Lysiane Métayer

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Photo de madame la députée Laurence Heydel Grillere

Laurence Heydel Grillere

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Photo de madame la députée Véronique Riotton

Véronique Riotton

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Photo de monsieur le député Vincent Ledoux

Vincent Ledoux

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Photo de madame la députée Cécile Rilhac

Cécile Rilhac

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À l’alinéa 2, supprimer le mot : « imminent ».

Exposé sommaire

Comme expliqué lors des auditions, les entreprises de réseaux sociaux affirment qu’elles sont capables de répondre aux réquisitions judiciaires qu’elles ont déterminé comme étant des situations d’urgence (le terrorisme et la pédocriminalité) en trente minutes. 


Limiter leur intervention dans un délai de huit heures aux “cas d’urgence résultant d’un risque imminent d’atteinte grave aux personnes ou aux biens” semble insuffisant compte tenu de leurs capacités d’action.

La suppression du caractère imminent permet d’étendre les cas d’urgence qui seront dorénavant pris en charge dans un délai de huit heures, comme les situations de cyberharcèlement, dont l’imminence ne peut être déterminée. Sans la suppression de ce terme, les cas de cyberharcèlement seraient étudiés dans un délai de dix jours, durant lequel les impacts psychologiques, notamment pour les mineurs, pourraient s’avérer mortels.