Fabrication de la liasse

Amendement n°I-CF1414

Déposé le jeudi 5 octobre 2023
Discuté
Rejeté
(vendredi 13 octobre 2023)
Photo de madame la députée Christine Pirès Beaune
Photo de monsieur le député Christian Baptiste
Photo de monsieur le député Mickaël Bouloux
Photo de monsieur le député Philippe Brun
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Elie Califer
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de monsieur le député Arthur Delaporte
Photo de monsieur le député Stéphane Delautrette
Photo de monsieur le député Inaki Echaniz
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député Jérôme Guedj
Photo de monsieur le député Johnny Hajjar
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de madame la députée Fatiha Keloua Hachi
Photo de monsieur le député Gérard Leseul
Photo de monsieur le député Philippe Naillet
Photo de monsieur le député Bertrand Petit
Photo de madame la députée Anna Pic
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de madame la députée Isabelle Santiago
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Mélanie Thomin
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de monsieur le député Roger Vicot

A l’alinéa 39 du présent article, remplacer les mots « les deux exercices pour lesquels » et « les deux pour lesquels » par respectivement « l’exercice pour lequel » et « celui pour lequel ».

Exposé sommaire

Le calcul de la rentabilité de l’exploitant, qui constitue une des deux conditions cumulatives de la
taxe sur l’exploitation des infrastructures de transport de longue distance, s’entend comme la
moyenne des niveaux de rentabilité de l’exploitant sur 7 ans. Sont pourtant exclus de ce calcul
les deux meilleurs niveaux de rentabilité au terme d’un exercice et les deux plus mauvais. Le
calcul s’effectue donc sur un échantillon réduit d’exercice. Dans la mesure où les principales
concessions d’autoroute ont dégagé au plus fort de la crise des taux de rentabilité toujours
supérieur à 10 % une telle réduction semble disproportionnée. La mesure de la rentabilité devrait
refléter plus adéquatement la réalité des résultats des concessions. L’amendement propose donc
de n’exclure que le meilleur niveau de rentabilité ainsi que le plus mauvais.