Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Roger Vicot
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de monsieur le député Christian Baptiste
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
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Photo de monsieur le député Philippe Brun
Photo de monsieur le député Elie Califer
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de monsieur le député Arthur Delaporte
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Photo de monsieur le député Johnny Hajjar
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Photo de monsieur le député Bertrand Petit
Photo de madame la députée Anna Pic
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Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de madame la députée Isabelle Santiago
Photo de madame la députée Mélanie Thomin
Photo de monsieur le député Boris Vallaud

Dans un délai de trois mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport présentant les raisons de constituer des brigades spécialement dédiées à la lutte contre les outrages sexistes et sexuels et chargées d’assurer des patrouilles dans les transports en commun ou tout autre lieu public où ces actes sont le plus souvent commis.

Exposé sommaire

Cet amendement du groupe socialistes vise à rappeler que le bilan des contraventions pour outrage sexiste est plutôt maigre en comparaison de la réalité du phénomène.

Il apparait à cet égard nécessaire pour lutter contre ces actes de constituer des brigades de policiers et de gendarmes spécialement formés et dont l'action serait de lutter contre un phénomène néfaste pour notre société toute entière.

L'article 40 de la Constitution interdisant aux parlementaires de créer une nouvelle charge pour l'Etat, nous sommes contraints d'en passer par une demande de rapport.

Ces brigades anti-outrages sexistes et sexuels mériteraient d'être créées effectivement.