Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Arthur Delaporte
Photo de madame la députée Claudia Rouaux
Photo de madame la députée Fatiha Keloua Hachi
Photo de monsieur le député Boris Vallaud
Photo de monsieur le député Joël Aviragnet
Photo de monsieur le député Christian Baptiste
Photo de madame la députée Marie-Noëlle Battistel
Photo de monsieur le député Mickaël Bouloux
Photo de monsieur le député Philippe Brun
Photo de monsieur le député Elie Califer
Photo de monsieur le député Alain David
Photo de monsieur le député Stéphane Delautrette
Photo de monsieur le député Inaki Echaniz
Photo de monsieur le député Olivier Faure
Photo de monsieur le député Guillaume Garot
Photo de monsieur le député Jérôme Guedj
Photo de monsieur le député Johnny Hajjar
Photo de madame la députée Chantal Jourdan
Photo de madame la députée Marietta Karamanli
Photo de monsieur le député Gérard Leseul
Photo de monsieur le député Philippe Naillet
Photo de monsieur le député Bertrand Petit
Photo de madame la députée Anna Pic
Photo de madame la députée Christine Pires Beaune
Photo de monsieur le député Dominique Potier
Photo de madame la députée Valérie Rabault
Photo de madame la députée Isabelle Santiago
Photo de monsieur le député Hervé Saulignac
Photo de madame la députée Mélanie Thomin
Photo de madame la députée Cécile Untermaier
Photo de monsieur le député Roger Vicot

Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai d’un an à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur les moyens et les besoins de la politique de la danse en France. Ce rapport fait un état des lieux de la politique de la danse sur le territoire national afin d’évaluer les besoins humains et financiers des conservatoires de danse mais aussi des structures d’éducation populaire qui ont en charge l’enseignement de la danse. 
 

Exposé sommaire

Cet amendement du le groupe Socialistes et apparentés vise à se donner les moyens de mener une réelle politique de la danse sur tout le territoire. 

Alors que cette proposition de loi vise la structuration de la profession, elle fait l’impasse d’une réflexion sur les débouchés qui s’offrent aux professeurs de danse. Et si les conservatoires et les structures d’éducation populaire pourraient représenter de vrais débouchés pérennes, encore faudrait-il qu'ils aient les moyens suffisant. Or, nos conservatoires et nos MJC souffrent, partout sur le territoire, notamment dans les territoires ruraux, d'un manque de financement récurrent.

Nous nous devons de construire une politique ambitieuse pour la danse partout en France, et cela ne peut se limiter à la seule question du DE.